Mort de Jean Pormanove: Sévices en Direct? La Vérité Choquante!
Mort de Jean Pormanove: Une Enquête Troublante sur les Sévices en Direct
La mort soudaine de Jean Pormanove, alias Raphaël Graven, un streamer français de 46 ans, a déclenché une onde de choc et soulevé des questions troublantes sur les conditions de ses streams en direct sur la plateforme Kick. Si l'autopsie initiale écarte une cause traumatique directe, privilégiant des causes médicales ou toxicologiques, l'ombre de la maltraitance plane.
Des Sévices Connus et Ignorés?
Selon plusieurs sources, dont un lanceur d'alerte qui a archivé des milliers d'heures de vidéos, Jean Pormanove aurait subi des humiliations et des violences pendant ses streams, infligées par ses « associés », Naruto et Safin. Ces agissements auraient continué malgré la détérioration de son état de santé. Un lanceur d'alerte a même publié 1700 vidéos pour prouver ces mauvais traitements.
Kick Remet en Ligne les Vidéos Controversées
De manière stupéfiante, la plateforme Kick a remis en ligne, pendant près de 24 heures, les vidéos montrant les sévices subis par Jean Pormanove avant sa mort. Cette action a provoqué l'indignation de la ministre du numérique et la condamnation de l'Arcom, l'autorité de régulation de l'audiovisuel. Les vidéos ont finalement été retirées, mais l'incident souligne le manque de contrôle et de responsabilité de la plateforme.
L'Arcom Face aux Défis de la Régulation
La mort de Jean Pormanove met en lumière les difficultés de l'Arcom à réguler les plateformes de streaming comme Kick, qui semblent échapper aux règles établies. La question de la responsabilité des plateformes dans la diffusion de contenus préjudiciables et la protection des personnes vulnérables est plus que jamais d'actualité.
- L'autopsie écarte une cause traumatique directe.
- Des soupçons de maltraitance persistent.
- Kick a remis en ligne les vidéos des sévices.
- L'Arcom est critiquée pour son manque de réactivité.
L'enquête sur la mort de Jean Pormanove se poursuit, et il est crucial que toute la lumière soit faite sur les circonstances de son décès et les éventuelles responsabilités.