Sextape à Saint-Étienne: Le Maire Commanditaire? Révélations Explosives!
Le procès retentissant de l'affaire de la sextape à Saint-Étienne a débuté, dévoilant des accusations explosives et des rebondissements inattendus. Au cœur de cette affaire se trouve Gilles Artigues, ancien premier adjoint, piégé dans une vidéo compromettante avec un escort. L'affaire a secoué la ville depuis 2022 et maintenant les détails sordides sont étalés au grand jour.
Un complot politique?
Samy Kéfi-Jérôme, ancien adjoint à l'éducation, a avoué avoir posé la caméra cachée, affirmant que Pierre Gauttieri, alors directeur de cabinet du maire Gaël Perdriau, avait commandité le piège. L'objectif présumé était de nuire à Gilles Artigues en raison de son homosexualité refoulée et de ses ambitions politiques.
Selon Kéfi-Jérôme, Gauttieri aurait promis le soutien du maire aux élections législatives de 2017 en échange de la compromission d'Artigues. Le maire, Gaël Perdriau, nie fermement toute implication dans ce complot, mais les accusations persistent.
Les conséquences pour Artigues
La vidéo, tournée à l'insu de Gilles Artigues dans une chambre d'hôtel à Paris en janvier 2015, a eu des conséquences dévastatrices sur sa vie personnelle et politique. L'affaire a révélé des luttes intestines au sein de la municipalité et des méthodes peu scrupuleuses pour éliminer les rivaux.
- Gilles Rossary-Lenglet, un autre acteur clé, est également accusé d'avoir participé à l'association de malfaiteurs.
- Le procès met en lumière des accusations de chantage, d'association de malfaiteurs et de détournement de fonds publics.
- L'issue de ce procès déterminera l'avenir politique de plusieurs acteurs impliqués.
Le procès se poursuit, et les témoignages et les preuves présentés promettent de révéler toute la vérité sur cette affaire complexe et scandaleuse.