WhatsApp en Danger? Ex-Responsable Sécurité Accuse Meta! 🚨
WhatsApp: Meta Accusé d'avoir Mis en Danger des Milliards d'Utilisateurs!
Un ancien responsable de la cybersécurité de WhatsApp a déposé une plainte explosive contre Meta, la société mère, l'accusant d'avoir négligé des failles de sécurité internes et d'avoir exposé des milliards d'utilisateurs à des risques considérables. Attaullah Baig, qui a occupé le poste de responsable de la sécurité de WhatsApp de 2021 à 2025, affirme que Meta a systématiquement violé les réglementations en matière de cybersécurité et a exercé des représailles contre lui pour avoir signalé ces défaillances.
Selon la plainte, environ 1 500 ingénieurs auraient eu un accès illimité aux données des utilisateurs sans contrôle adéquat, ce qui pourrait violer une ordonnance du gouvernement américain qui a imposé une amende de 5 milliards de dollars à l'entreprise en 2020. Baig prétend également que Meta n'a pas remédié au piratage et à la prise de contrôle de plus de 100 000 comptes chaque jour, ignorant ses demandes et ses propositions de correction, préférant privilégier la croissance du nombre d'utilisateurs.
Accès Non Audité aux Données Utilisateur
La plainte de 115 pages détaille comment Baig a découvert, grâce à des tests de sécurité internes, que les ingénieurs de WhatsApp pouvaient « déplacer ou voler des données utilisateur », y compris les informations de contact, les adresses IP et les photos de profil, « sans détection ni piste d'audit ». Il affirme avoir soulevé ces préoccupations à plusieurs reprises auprès des hauts responsables, notamment Will Cathcart, le responsable de WhatsApp, et Mark Zuckerberg, le PDG de Meta.
Conséquences Potentielles
Cette affaire pourrait avoir des répercussions majeures sur la réputation de WhatsApp et de Meta, ainsi que sur la confiance des utilisateurs dans la sécurité de leurs données personnelles. Elle soulève également des questions importantes sur la surveillance et la protection des données au sein des grandes entreprises technologiques.
- Accès non autorisé aux données
- Violation potentielle des réglementations
- Négligence de la sécurité des utilisateurs
L'affaire est actuellement devant le tribunal fédéral américain de San Francisco.