Procès Lively-Baldoni : la plainte de 400 millions de dollars rejetée !
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Le monde du cinéma est en émoi suite au rejet par un juge new-yorkais de la contre-plainte de Justin Baldoni, d'un montant colossal de 400 millions de dollars, pour diffamation à l'encontre de Blake Lively. Cette affaire, qui secoue Hollywood depuis plusieurs mois, met en lumière les tensions et les accusations entre les deux acteurs, tous deux à l'affiche du film "It Ends With Us".
Les détails de l'affaire
Selon les documents judiciaires, le juge Lewis Liman a rejeté la contre-plainte de Baldoni, qui comprenait des allégations d'extorsion et de diffamation. Baldoni avait intenté cette action en justice après que Lively ait déposé une plainte l'année dernière, l'accusant de harcèlement sexuel et d'avoir orchestré une campagne de dénigrement contre elle.
Lively avait également partagé des détails de ses allégations dans un article du New York Times avant son procès. En réponse, Baldoni avait intenté des poursuites en diffamation contre Lively, son mari Ryan Reynolds, leur publiciste, affirmant qu'ils cherchaient à ruiner sa carrière et sa réputation avec ces allégations, ainsi que contre le New York Times.
La plainte de Baldoni portait sur deux affirmations principales : que Lively avait "volé le film" à Baldoni et à sa société Wayfarer en menaçant de ne pas en faire la promotion, et qu'elle et d'autres avaient promu un faux récit selon lequel Baldoni l'avait agressée sexuellement et avait lancé une campagne de dénigrement contre elle.
Le juge Liman a cependant estimé que Baldoni et sa société de production "n'ont pas suffisamment allégué que les menaces de Lively étaient une extorsion illégale plutôt qu'une négociation difficile légalement autorisée ou une renégociation des conditions de travail".
Les accusations de harcèlement sexuel protégées
Le juge a également estimé que les accusations de harcèlement sexuel de Lively étaient légalement protégées et donc immunisées contre les poursuites. Il a également rejeté la plainte en diffamation de Baldoni contre le New York Times, estimant que les reportages du journal sur les allégations étaient protégés par le privilège du "reportage loyal".
- Rejet de la contre-plainte de Justin Baldoni
- Accusations de harcèlement sexuel de Blake Lively
- Implication de Ryan Reynolds et du New York Times
Cette affaire complexe continue de susciter l'attention médiatique et soulève des questions importantes sur le harcèlement sexuel, la diffamation et le pouvoir dans l'industrie du divertissement. Les avocats de Lively ont qualifié la décision du juge Lewis J. Liman de "justification complète". L'affaire pourrait cependant connaître de nouveaux rebondissements, Baldoni ayant la possibilité de modifier et de redéposer certaines allégations concernant l'interférence avec les contrats.