Crise Covid: Buzyn, Philippe & Véran Blanchis! Le Scandale Évité?
Coup de théâtre dans l'enquête sur la gestion de la crise sanitaire du Covid-19 en France! Cinq ans après le début de l'investigation, la Cour de justice de la République (CJR) a prononcé un non-lieu général en faveur d'Agnès Buzyn, d'Édouard Philippe et d'Olivier Véran. Cette décision met fin à une affaire qui a pesé lourdement sur les anciens ministres.
Un Soulagement Attendu
La décision de la CJR n'est pas une surprise totale. En janvier 2023, la Cour de cassation avait déjà annulé la mise en examen d'Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, pour « mise en danger de la vie d'autrui ». Le parquet général avait lui-même requis un non-lieu général en mai dernier.
Ce non-lieu représente un soulagement considérable pour les trois anciens ministres, qui étaient sous le statut de témoin assisté : Agnès Buzyn, Olivier Véran (qui a succédé à Buzyn à la Santé en février 2020), et Édouard Philippe, Premier ministre au début de la pandémie. Pour ce dernier, dont les ambitions présidentielles pour 2027 sont connues, l'issue de cette affaire était particulièrement cruciale.
Les Conséquences Politiques
Cette décision de justice aura sans aucun doute des répercussions politiques. Alors que l'opposition critiquait la gestion de la crise sanitaire, ce non-lieu pourrait apaiser certaines tensions. Reste à voir si l'opinion publique acceptera ce verdict sans réserve.
- Agnès Buzyn : Blanchie des accusations de mise en danger de la vie d'autrui.
- Édouard Philippe : Son avenir politique n'est plus menacé par cette affaire.
- Olivier Véran : Soulagement après des années d'incertitude.
L'enquête de la CJR aura permis de mettre en lumière les défis immenses auxquels les autorités françaises ont été confrontées lors de la pandémie. Si des erreurs ont été commises, la justice a estimé qu'elles ne relevaient pas de la responsabilité pénale des ministres concernés.