Agression Horrible à l'Université: Détails Choc Révélés!
Une agression choquante sur le campus de RiverPark de l'Université d'État de Columbus (CSU) a ébranlé la communauté étudiante. Les autorités ont confirmé qu'une étudiante a été brutalement attaquée vendredi dernier dans le stationnement desservant le campus. Le suspect, identifié comme Hosni Batebawai, 20 ans, a été rapidement appréhendé après une brève fuite.
Détails glaçants de l'agression dévoilés en cour
Les détails de l'agression, survenue le 26 septembre 2025, ont été révélés lors de l'audience de Batebawai. Un policier de la CSU a témoigné de la violence de l'attaque, qui s'est déroulée en plein jour. Selon le témoignage, Batebawai a d'abord demandé le numéro de téléphone de la victime alors qu'elle s'approchait de son véhicule au 4ème étage du stationnement. Après que la victime ait révélé son âge, Batebawai l'a forcée à monter dans sa voiture.
Attaque brutale et tentative d'enlèvement
Incapable de fermer la portière, Batebawai a arraché les vêtements de la victime tout en l'étranglant et en la frappant. L'attaque, captée par des caméras de surveillance avec audio, a permis d'entendre les cris de détresse de la victime. Des témoins présents dans le stationnement ont corroboré le récit de la victime.
Après l'agression, Batebawai a tenté de mettre la victime dans le coffre de sa voiture, mais a échoué. Il s'est ensuite enfui à bord du véhicule de la victime. La police de Phenix City a repéré le véhicule et une brève poursuite s'est engagée, ramenant Batebawai à Columbus où il a été arrêté.
Un criminel récidiviste récemment libéré
Il est troublant de constater que Batebawai, un criminel reconnu, avait été libéré de la prison du comté de Muscogee quelques heures seulement avant l'agression. Il avait été arrêté précédemment pour indécence publique, obstruction à la justice et menaces terroristes.
Les procureurs ont demandé l'ajout de deux chefs d'accusation supplémentaires : vol de véhicule et agression grave avec intention de viol. Le juge David Ranieri a ordonné la détention de Batebawai sans caution pour les six chefs d'accusation liés à l'agression, le qualifiant de menace importante pour la sécurité de la communauté. L'enquête est toujours en cours.