Prince Andrew: Son avenir public compromis? Révélations explosives!
Un nouvel ouvrage sur le prince Andrew suscite la controverse, affirmant que son avenir public est inexistant et que son absence de statut royal l'agace profondément. L'auteur, Andrew Lownie, dont le livre s'intitule "The Rise And Fall Of The House Of York", a passé quatre ans à enquêter sur la vie du duc d'York.
L'ouvrage, non autorisé par le prince Andrew, a nécessité des centaines de demandes d'accès à l'information auprès des ministères gouvernementaux. Selon Lownie, toutes ses demandes d'informations sur le prince Andrew et son travail officiel ont été rejetées. La maison royale et les archives royales sont déjà exemptées des demandes d'accès à l'information.
Lownie a déclaré à Sky News : "De toute évidence, il y a des détails que les gens ont relevés et exploités. Et vous savez, c'est inévitable dans ce genre de livres." Il a ajouté : "S'ils veulent gagner notre confiance et notre soutien, ils doivent montrer qu'ils ne cachent rien, qu'ils se comportent bien."
L'auteur affirme que le Foreign Office et le ministère des Affaires et du Commerce ont invoqué diverses raisons pour justifier leur incapacité à fournir des informations sur le travail public du prince Andrew en tant qu'envoyé commercial dans les années 2000. Ces raisons vont des questions de sécurité aux coûts et aux heures de travail, en passant par la protection des données et la complexité des questions.
La Reine savait-elle?
Dans une autre interview, Lownie suggère que la reine Elizabeth II était au courant des agissements de son fils. Il affirme que le comportement scandaleux du duc n'est rien comparé à ses finances troubles et à la complicité de sa mère.
Selon Lownie, la transparence est essentielle pour que la famille royale conserve le soutien du public à long terme.
Un avenir incertain
Les révélations de ce livre jettent une ombre supplémentaire sur l'avenir du prince Andrew au sein de la famille royale. Alors que l'opinion publique reste critique à son égard, il semble que son retour à la vie publique soit de plus en plus improbable.