Sarah Knafo contre l'usine à taxes : Un plan audacieux pour le pouvoir d'achat des Français
Face à la pression fiscale croissante en France, l'eurodéputée Sarah Knafo (Reconquête) propose un "contre-budget d'urgence" pour alléger le fardeau des citoyens. Alors que l'examen du budget bat son plein à l'Assemblée nationale, Knafo dénonce une véritable "usine à taxes" mise en place par le gouvernement, avec 15 nouvelles taxes qui augmentent considérablement les prélèvements obligatoires.
Knafo, ancienne magistrate à la Cour des comptes, critique vivement le budget actuel, le qualifiant de "fuite en avant dépensière". Elle souligne que la France n'a pas un problème de recettes, mais plutôt un problème de dépenses publiques excessives. Avec un taux de prélèvements obligatoires parmi les plus élevés au monde, Knafo estime qu'il est impératif de réduire drastiquement les dépenses pour redonner du pouvoir d'achat aux Français.
Un contre-budget pour une baisse massive des dépenses
Le plan de Sarah Knafo vise à diminuer les prélèvements obligatoires de 20 milliards d'euros et les dépenses de 80 milliards d'euros. Elle propose des mesures concrètes pour rationaliser les dépenses publiques et améliorer l'efficacité de l'État. Son objectif est clair : alléger la pression fiscale qui pèse sur les ménages et les entreprises françaises.
D'autres figures politiques, comme David Lisnard, partagent cette vision et proposent également des plans d'économies ambitieux pour rendre du pouvoir d'achat aux contribuables. Lisnard évoque un plan d'économies de 200 milliards d'euros, avec l'objectif de restituer 120 milliards en pouvoir d'achat grâce à la baisse des cotisations.
Le débat sur les dépenses publiques et la pression fiscale est plus que jamais d'actualité. Les propositions de Sarah Knafo et David Lisnard témoignent d'une volonté de rompre avec le "conformisme budgétaire" et d'explorer des solutions radicales pour améliorer le pouvoir d'achat des Français. La question reste de savoir si ces plans ambitieux pourront être mis en œuvre et quel sera leur impact réel sur l'économie française.