François Molins: La vie après les attentats de Paris révélée!

François Molins: La vie après les attentats de Paris révélée!

François Molins, figure emblématique de la lutte contre le terrorisme en France durant les années sombres des attentats djihadistes (2012-2018), continue d'œuvrer activement, même après sa retraite en tant que procureur de Paris il y a deux ans. À l'approche des commémorations du 13-Novembre, il demeure un défenseur infatigable de la démocratie.

L'ancien procureur, âgé de 72 ans, a été aperçu dans une salle d'escalade en banlieue parisienne, un lieu qu'il fréquente assidûment depuis 2001. Même pendant la période intense des attentats, il n'a que rarement manqué sa séance hebdomadaire. Cette passion pour l'alpinisme lui offre un répit, une concentration absolue qui lui permettait d'oublier, même brièvement, la pression constante de son travail.

Molins a également été confronté à des affaires sensibles, comme l'ouverture d'une information judiciaire contre Jérôme Cahuzac en 2013. Moins d'une heure après avoir déclenché une tempête médiatique et politique, il retrouvait la concentration nécessaire sur la paroi d'escalade. Cette discipline physique et mentale semble être un élément clé de sa résilience.

Au-delà de l'escalade, François Molins reste impliqué dans diverses activités liées à ses anciennes fonctions, témoignant d'un engagement profond et continu envers la justice et la sécurité du pays. Son expérience et son expertise sont précieuses dans un contexte où la menace terroriste demeure une préoccupation majeure.

Gérald Darmanin et Nicolas Sarkozy: Une visite controversée

Par ailleurs, la visite de Gérald Darmanin à Nicolas Sarkozy en prison suscite la polémique. Le ministre de la justice avait promis de rendre visite à l'ancien chef d'État incarcéré, et il a tenu parole. Cependant, cette visite a été perçue par certains comme une violation du principe de séparation des pouvoirs.

Un collectif d'avocats a même porté plainte contre Darmanin pour "prise illégale d'intérêts", arguant que son soutien public à Sarkozy constitue une prise de position dans une affaire où il a un pouvoir d'administration. Cette affaire met en lumière les tensions et les enjeux éthiques liés aux relations entre les personnalités politiques et le système judiciaire.