Rousseau DÉNONCE ! Pronote, PS, Budget... Ses vérités EXPLOSIVES !

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Sandrine Rousseau : Entre critiques de Pronote, alertes sur le PS et le budget

La députée écologiste Sandrine Rousseau est sur tous les fronts. Récemment, elle a exprimé ses réserves sur l'utilisation de Pronote, la plateforme de suivi scolaire, et a partagé ses inquiétudes concernant la direction que prend le Parti Socialiste. De plus, elle s'est exprimée sur les débats budgétaires à l'Assemblée Nationale.

Pronote : une intrusion constante ?

Invitée du podcast "Mon école, mes profs et moi" sur RMC, Sandrine Rousseau a critiqué Pronote, le jugeant trop intrusif. "J’ai toujours eu du mal avec Pronote parce que je trouvais que c’était assez intrusif d’être toujours sur le dos des enfants. Je n’ai jamais utilisé Pronote de manière systématique et quotidienne", a-t-elle déclaré. Elle se souvient de son propre parcours scolaire où les notes n'étaient communiquées qu'une fois par trimestre.

Pronote, comme d'autres outils numériques scolaires, est souvent accusé d'être envahissant, permettant aux élèves, aux parents et aux professeurs de consulter à tout moment les notes, les devoirs et les cours en ligne.

Le PS trop au centre ?

Dans une interview accordée à Sud Radio, Sandrine Rousseau a exprimé son inquiétude quant à la direction que prend le Parti Socialiste. "Le PS est en train de partir trop loin vers le centre", a-t-elle affirmé. Elle a également critiqué la proposition d'une "allocation sociale unique" qu'elle considère comme une mesure de droite.

Elle a appelé la gauche à se réveiller face à la menace de l'extrême droite, soulignant que tendre la main à Macron n'est pas la solution pour maintenir une ligne de gauche écologiste et ambitieuse.

Budget : un calendrier impossible ?

Sandrine Rousseau, comme d'autres députés, est confrontée aux défis du calendrier budgétaire à l'Assemblée Nationale. Avec plus de 1500 amendements à examiner en une semaine, l'adoption du budget pour 2026 semble compromise. Le ministre des Relations avec le Parlement a même évoqué l'interruption des débats budgétaires ce week-end.

La situation met en lumière les tensions et les difficultés rencontrées par les députés pour concilier les délais constitutionnels et l'examen approfondi des amendements.